Jacques Labrie. Écrits et correspondance : quelques détails… (1re de 2 parties)

Dans notre chronique de la semaine dernière, j’annonçais la publication de mon tout premier ouvrage intitulé Jacques Labrie. Écrits et correspondance (Éditions du Septentrion).

Cette semaine, je vous fais part de quelques petits détails sur ce projet concrétisé. D’abord, de quelle manière est-il construit ? Très simple. En réalité, la réponse se trouve dans le titre. La première partie de mon livre dresse un portrait biographique du personnage. J’ai mis l’accent sur certaines périodes de vie plus ou moins escamotées par l’historiographie. Entre autres, je pense à son passage en tant qu’étudiant au vieux Séminaire de Québec entre 1798 et 1804, puis à son passage à l’Université d’Édimbourg en 1807-1808, dans le but de parfaire ses connaissances médicales.

En soi, le Dr Jacques Labrie (1784-1831) a été le témoin de grands moments dans l’histoire du Québec. Proche des Papineau, Viger, Blanchet, Neilson, Morin et Girouard, il a surtout joué un rôle déterminant dans l’évolution réformiste du comté des Deux-Montagnes, dans le premier tiers du XIXe siècle. Labrie a été impliqué dans plusieurs domaines, que ce soit l’éduction (il a fondé et tenu des écoles), le journalisme (il a fondé le Courier de Québec), la médecine, la politique (il a été député du comté d’York, puis Deux-Montagnes de 1827 jusqu’à son décès en 1831), auteur et historien (il a traduit l’ouvrage Les Premiers rudiments de la Constitution britannique et est l’auteur de l’Histoire du Canada).

La semaine prochaine, je vous résume les deux autres parties de mon ouvrage.

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